[pub] Les serveurs IBM Power sont synonymes de performance et de fiabilité depuis plusieurs décennies, mais certains préjugés persistent. Pourquoi les systèmes IBM Power sont-ils si uniques et comment votre entreprise peut-elle les déployer ? Pour répondre à cette question, nous avons consulté le spécialiste en informatique Comarch.
Le premier serveur Power d’IBM remonte à 1988 avec le légendaire AS400. Depuis lors, la gamme de produits a subi plusieurs changements technologiques et de nom, sous le nom actuel de Power Systems. Pendant toutes ces années, la promesse n’a jamais changé : les serveurs doivent être synonymes de performance, de robustesse et de fiabilité. C’est pourquoi la société informatique polonaise Comarch propose ses propres services cloud sur une infrastructure Power stable.
Les plus grandes banques, compagnies d’assurance et détaillants possèdent des serveurs IBM Power dans leur système informatique, et pour cause. Pourtant, il existe aussi des idées préconçues (injustifiées) sur le rôle des systèmes IBM Power dans les environnements informatiques modernes. Qu’est-ce qui rend IBM Power Systems unique, quelle est son utilité pour votre entreprise et pourquoi est-il rentable de faire appel à un intégrateur pour la migration ? Cet article, rédigé en collaboration avec le spécialiste de l’informatique Comarch, explique en détail ces points.
De l’AS/400 aux Power Systems
Tout d’abord, un bref historique. L’ancêtre de tous les serveurs IBM Power est l’AS400, qui a vu le jour en 1988. L’AS400 a simplifié l’installation et la maintenance en combinant le calcul, le stockage et les E/S dans un seul serveur. Ce serveur était beaucoup plus compact que les boîtiers mainframe courants à l’époque.
Ce qui est encore plus unique, c’est que chaque fichier ou appareil est considéré comme un objet. Le logiciel simple d’utilisation (OS400) ainsi que la fiabilité et la sécurité élevées étaient également des points forts de l’AS400. Aujourd’hui encore, la haute fiabilité, la haute disponibilité et la sécurité maximale sont essentielles.
Dans les années 2000, les serveurs ont été rafraîchis à plusieurs reprises. Le système d’exploitation OS400 a été remplacé par IBM i. En 2008, IBM a fusionné les lignes de produits System i et System p pour former Power Systems, le nom actuel des serveurs. Comarch a créé son propre PowerCloud pour rendre l’ensemble encore plus performant.
RISC
À la base se trouve le microprocesseur Power. La dixième génération a été lancée en 2021 et est fabriquée selon un processus de 7nm. IBM place jusqu’à 15 cœurs SMT8 et 30 cœurs SMT4 dans un socket. Chaque cœur contient jusqu’à 48 (instructions) et 32 (données) Ko de cache L1 et 2 Mo de cache L2, ainsi que 8 segments d’exécution pouvant traiter jusqu’à 20 instructions.
Toutes les parties forment un tout. Chaque processeur Power10 est composé de deux moitiés, chacune comprenant huit cœurs SMT8 et 64 Mo de cache L3. Un cœur reste toujours désactivé, ce qui donne 15 cœurs opérationnels et 120 Mo de cache L3.
Il faut aussi expliquer l’architecture Power ISA sous-jacente. RISC (« Reduced Instruction Set Computer ») en est la base. RISC diffère de CISC en ce qu’il est beaucoup moins complexe : chaque instruction exécute une fonction par cycle de fréquence. L’architecture x86, très répandue dans l’industrie des serveurs, est essentiellement CISC ; une autre implémentation RISC bien connue est l’architecture ARM. L’architecture RISC gagne en importance aujourd’hui, car elle permet d’obtenir un matériel plus efficace et plus économique.
Pas ancien
Malgré cela, IBM Power Systems doit lutter contre des préjugés bien ancrés. Parce que les serveurs les plus anciens existent depuis plusieurs décennies, ils sont parfois qualifiés de « legacy » (ancien). Dans le secteur informatique, le terme « legacy » a une connotation négative et se traduit en fait par « une camelote dont il faut se débarrasser ».
Cela ne vaut certainement pas pour les Power Systems d’IBM. Ces serveurs ont réussi à rester pertinents pendant si longtemps simplement parce que le matériel et les logiciels ont évolué avec le temps. Pourquoi les plus grandes banques risqueraient-elles leurs opérations quotidiennes en utilisant une technologie obsolète, sachant que tout temps d’arrêt leur coûterait des tonnes d’argent ?
Pas de souci à ce niveau : les serveurs IBM Power Systems sont équipés pour faire face à tous les défis informatiques d’aujourd’hui, quelle que soit leur complexité.
Power Cloud : pas besoin de dépenser une fortune !
Un autre préjugé concernant les Power Systems d’IBM est qu’il s’agit d’une technologie coûteuse. Outre l’achat des serveurs, ils nécessitent également une maintenance ainsi que des connaissances et une expertise spécifiques au sein de l’équipe informatique. Les performances des serveurs se dégradent au fil du temps s’ils ne sont pas entretenus correctement. En effet, il peut être coûteux de prendre en charge cette maintenance en tant qu’utilisateur. Les experts Power System sont aussi assez rares à trouver.
On peut réduire les coûts de Power Systems en choississant un partenaire fiable. La société informatique polonaise Comarch propose des services cloud sur sa propre infrastructure IBM. Les experts de Comarch vous déchargent de la gestion des serveurs, ce qui permet à l’équipe informatique de se concentrer sur les besoins réels de votre organisation.
La solution PowerCloud de Comarch apporte également toute la flexibilité nécessaire. Personne ne souhaite avoir trop peu de puissance de calcul, mais le surprovisionnement est au moins aussi néfaste. Grâce à Comarch, la capacité de calcul et de stockage est toujours suffisante et vous pouvez l’augmenter si nécessaire.
Enfin, Comarch PowerCloud est synonyme de sécurité. Dans le centre de données, tant l’infrastructure du serveur que le réseau sont sécurisés par une infrastructure robuste et l’expertise technique d’experts dévoués. Plus besoin donc de se soucier d’une infrastructure informatique inefficace ou insuffisamment sécurisée : la qualité vaut son prix.
Cette publication est une contribution commerciale en collaboration avec Comarch. Cliquez ici pour plus d’informations sur les solutions PowerCloud.